Réveil (1/2)

Les paupières papillonantes, j'ouvris les yeux faiblement, ne voulant pas accepter la mort probable qui me guettait.

Des bruits, des craquements de brindilles, des cris d'animaux, tout ceci ne me rappelait que trop la détestable Jungle sembor où le moidre pas hors d'un refuge signifiait la mort.
Je déteste, non, j'exècre la Jungle. Vision franche inexistante, ce qui rend impossible l'utilisation d'un fusil de précision sans lunette thermique.

La douleur était trop intense, et je n'avais d'autre choix que d'attendre d'être soigné. J'activais donc la capsule bioénergétique, te je ne sentis presque pas le sommeil m'envahir...

Lorsque j'ouvrais les yeux, enfin apte à faire quelque chose de mon corps, je décidai de sortir de ma capsule, et de voir de quoi était faite cette planète sur laquelle j'avais atterri.
J'étais au bout d'une tranchée creusée par ma navette qui m'avait amené ici, et je me trouvais bel et bien dans une jungle. J'observais un grand nombre de traces d'animaux, comme s'ils avaient courru dans le même sens. L'un d'eux portait quelque chose, ou quelqu'un, d'après ses traces plus profondes. Il y avait aussi des traces de pas humains, ce qui signifient que des Humains vivent ici aussi, ce qui était une bonne nouvelle en soi; je ne serai pas dépaysé.

Une masse considérable s'abattit sur ma capsule, la réduisant en miettes...et un monstre avec beaucoup de trucs pointus se tenait face à moi. Bien, il est temps de courir je crois.

Décidant de ne pas paniquer, je hurlais, tout en courant. Peu professionnel, mais ça avait le mérite de faire du bien.
A force de courir, je me trouvais hors de la forêt. Je profitait de cette excursion pour essayer de trouver un endroit plus civilisé. Je suivis donc une piste qui m'amena aux portes d'une formidable citadelle. J'y apperçu de nombreux humains, ce qui rendrait l'acclimatation plus facile

(Bon RP Sark'. Bien écrit)

En allant à l'auberge, lieu bien connu de renseignement, je trouvais un travail à faire, lequel était d'élimminer les pillards qui s'en prenaient aux villages alentours.

(Pour ceux qui veulent une musique d'ambiance ici, voir; "Default Judgment" ou "Smasher/Devourer" de Fear Factory )


J'attendis trois jours avant qu'ils ne se manifestent, et lorsqu'ils vinrent, je pris mon temps.
Trois véhicules tout-terrains me faisaient face, au bout du plateau désertique. Aidé par mon optique de visée, je tuais le mitrailleur du premier, le copilote du second, et un passager du dernier. La terreur se répandait petit à petit dans les rangs ennemis. Je pouvait lire la peur sur leurs visages, et ça me grisait.


Lorsque les jeeps arrivèrent, je dégainai mon pistolet et tuait les deux derniers mitrailleurs. les pillards descendirent, appeurés, le bout de leurs canons tremblant. J'apparus devant eux, supprimant mon camouflage. Les canons se tournèrent vers moi, encore plus tremblants. L'un des pillards s'écroula, étant donné que je l'avais égorgé avant de me rendre visible.
J'attrapais l'un des cinq restant, et lui brisai la tête sur un rocher, tandis que j'égorgeait un autre, le couteau dans la main droite.
Les derniers eurent des traitements de faveur.

Tendons sectionnée pour éviter qu'ils ne s'enfuient, je brisait les os du premier un par un, et j'en obtins qu'ils possédaient une base dans les montagnes justes à côté, avant qu'il ne succombe à la douleur et sous les coups.
Au deuxième, je fis des entailles tout les millimètres avec mon couteau. Des profondes entailles, pas des éraflures.
Il eut le temps de me dire qu'il restait une quinzaine de pillards dans la grotte, avant de mourir d'hémorragie.


J'allais donc en jeep jusqu'à la grotte, et entrais discrètement, camouflé.
Six pillards eurent la gorge tranché. Je ratai mon poignardage sur l'un d'eux, aussi hurla-t-il avant de mourir. Ameutés, les derniers s'approchèrent, méfiants. Me servant de ma balise d'invocation, je fis apparaître mon marteau de guerre à deux mains.
Pas discret, mais efficace.
Le premier fut tout simplement broyé, mais le deuxième s'envola.
Usant de ma rapidité, je broyai les derniers, avec un sourire sadique chaque fois que j'entendais les os craquer.
Le dernier eu le temps de partir en courant, mais mon marteau partit plus vite, aidée par l'inertie dûe à sa masse.
Comme frappé par une balle, il s'envola, et alla s'écraser contre la paroi de a grotte.

Je possédait maintenant un lieu d'habitat gratuit, tous frais payés.

(Enormissime =p. continue)

t'en rajouterais pas un peu ? =D

Non, tu RP bien pour un nouveau. L'action est claire, malgré les fautes d'orthographe. Bon, c'est pas parfait, mais au moins c'est intéressant, et ça c'est le principal.