Tout était sombre, noir , et sans intérêts. Que gagner à vivre dans un monde bercer par une lassitude constante ? Bien qu'utile en vérité, la paix endolorissait les âmes et les faisait dormir dans sommeil doucereux. Lors de l'attaque de la mine, des mercenaires n'avaient eut vent de la menace croissante venant de l'ouest.
Personne n'avait eut connaissance de cela. Tout était mort, désert et sans la moindre utilité. Tout était vide.
Il existe pourtant une lueur en ce monde grisonnant. Parfois, même, s'ouvrent des cœurs joyeux aux festivités quotidiennes.
Mais qu'est ce qu'une lueur dans un monde de ténèbres invisibles ? Les seules craintes sont celles d'une vie répétitives, s'offrant à ceux qui le veulent bien. Les autres doivent continué à exister , presque autant éternellement que l'infini.
Les légendes même du passées n'étaient plus là. Rien ne comptait. On ne faisait rien, on vivait sans ne rien faire, et le rien contentait toutes les âmes massives et endolories de ce monde en décadence. Dans l'abstraction d'un réel vivable, les ténèbres saisisaient un à un les cœurs. Le doute s'installait, le mondre regards pouvait créer une tension entre les individus. La vie elle même se rebiffait contre un climat trop paisible.
Et qu'en était-il des héros ? Que devenait les guildes ?
Elle ne vivait pas longtemps, le plupart fermaient les unes après les autres. Les groupes se séparaient, les amitiés ne restait pas sans failles.
Les archipels s'exilaient. Les gens se regroupaient dans les villes ou l'activité devenait chaque jours plus intense. Les transports croissaient à une vitesse exponentielle.
"Reprise du cours "