THE FALLEN Fail Fallen is fail.
Messages : 84 Date d'inscription : 11/08/2011 Age : 31
| Sujet: [Karzahni] Le seigneur et le Trône Mer 29 Fév - 1:07 | |
| Karzahni, au premier regard une terre désolé comme tant d'autre, au second...Une de dément. Des volcans vomissant de la glace, des rivières de poussière, un lieu où l'inactivité était synonyme d'éternité e tant que statue. Un tels royaume semblais fait sur mesure a la folie de son roi, et c'est justement ce roi qu'il allait rencontrer.
Il chemine dans cette folie sur mesure, tout de noir vêtu, la forme de ses jambes poussant son corps vers l'avant l'oblige a dodeliner de la tête de temps a autre pour maintenir un équilibre parfait. Et alors qu'il arpente ce lieu emplit de la souffrance des milliers d'esclave du roi fou il chante, il chante un des ses champs dont lui seul a le secret, un chant de fou.Au long du lac se brisent les vagues de nuages Les deux soleils jumeaux meurent sur ses rivages Et les ombres s'allongent Sur Karzahni. Ils traverse les champs de Statue vestige silencieux de ceux qui furent trop faibles pour supporter le poids de leur déchéance ou trop fort pour accepter sa folie. De temps a autre certaine retienne son attention, il pose la main dessus, un fluide noirâtre suinte de ses doigts et viens de loger dans les moindre de leur aspérité. Quelque seconde plus tard elle s'anime, patin grossier suivant leur créateur en se languissant d'être affiner, ils danse sur ce chant.Si étrange est la nuit sous les étoiles noires Si étranges les lunes qui tournent au ciel du soir Mais plus étrange encore Est Karzahni. L'obscur et son cortège de Jamais-été entrevois les formes d'un palais, lui sait qui y réside et sourit, eux savent qui y demeure et enrage. Alors que devant sa lourde porte il se présente le chant enfin prend fin.Les chants qu'a Arthaka un jour on chantera Là où flottent en bruissant les oripeaux du Roi Doivent mourir sans bruit Dans Karzahni. La porte vole en éclat, il entre, face a lui sur son trône le Roi le toise, de ses mots il lace le premier coup.-Qui? QUI? Est le fou qui ose venir en ces lieux? Rauque est la voix qui répond, elle une odeur de cendre et des accent de reptile.-Rien qu'un autre Fou, et sa cohorte de pale souvenir. Ire et moquerie livre bataille dans la bouche du roi.-Folie et souvenir, pensez vous que cela suffira a m'occire? Sourire obscène et ton de rasoir pour l'obscur.-Ainsi parle celui qui n'a a m'offrir qu'une carcasse et un esprit poussiéreux. Poing qui se sert et pouvoir qui s'affute, le Roi là de discourir tisse la première fronde mais d'un simple sarcasme l'obscur s'en défait.-Votre maitrise de l'Osili ne c'est point émousser soyez en rassurer mais nul mirage ne saurait être plus atroce que les chimère de mon esprit. Le pouvoir révéler le masque du Roi tombe mais son nom reste en suspend et n'est point prononcer, a l'œil expert pourtant sa tragédie peut être conter. Mais de l'obscur déjà le nom raisonne pourtant point de mots ne le forme, chaque ombre vivant en ce royaume, chaque fissure dans l'esprit du roi-non-roi, chaque râle d'agonie est son nom.
Le fauve-roi bondit sur le murmurant, son poing armer ne trouve cependant pas sa cible car en un verbiage s'effondre la résolution et attise la peur.-Vous pensiez que cela irez aussi vite? Non il faut que ca dure, nous y sommes presque alors....Commençons. Le palais de de démence tremble, l'air lui même explose et l'ombre demande son tribut de sang. Tous en ces lieux perverti assiste a cet échange obscène et il savent que ce n'est nullement deux guerrier qui s'oppose mais deux Bêtes avide de souffrance. | |
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