Je m'appelle Lewa. Toa de l'Air.

Call me Artemis Fowl, Josh Fix.

Lewa débarqua du vaisseau en pleine chute libre. Sans même se soucier de prendre un parachute, il continua sa chute libre en tournoyant sur lui même en pleine direction de l'île d'Arkata. Il fonçait droit sur la terre , sans freiner sa course . Il était sur de lui. Au dernier moment il releva ses talons. Et un souffle d'air le poussa en avant, il reprit de l'altitude comme si il avait un Jet pack sur lui. Il déploya ses bras comme les aiguilles d'une horloge et tourna vite .

Il flottait devant la porte du S.A.S encore ouvert. Petit clin d’œil à Helryx, grand coucou au autres. Et il repartit en flèche, plongeant dans l’océan, puis ressortant dans un nuage aérien svelte et invisible.
Il posa pied sur l'île. Sur un chemin bordant les Dunes et la Plage.

Il vit au loin dans le ciel qu'on lui jetait ses armes par dessus bord du vaisseau. Il se mit à rire légèrement et leva la main en direction des objets. Pour les faire léviter jusqu'à lui.
Il porta le sac à son épaule et prit la lanière à une main.

Le Toa allait en direction de cette petite ville qui lui était inconnue.

(Dingue le RP juste pour dire que Lewa descend du vaisseau. J'aurais jamais pu pondre un truc pareil. Tu sais que tu m'agace.
Mais j'avoue que ca donne la super classe à Lewa, il le mérite)

(mici)

Je suis le nouveau, celui qui continue d'exister.(Hanz Zimmer OST Inception)

Lewa avait le regard solide, ses yeux affrontait le soleil de fin de journée sans peiner. ses cils battaient lentement. Totalement maître de lui même et de son souffle. Le Pas ni trop lent, ni trop rapide. Le balancement des bras ni trop réguliers, ni trop mou. Lewa marchait vers la cité centrale d'Arkata. Déjà les faubourgs se présentaient à lui. Les bâtiments grandissaient plus il avançait. Il entonait l'air de la délivrance. Une petite ritournelle sympathique et entrainante qu'un vieux Turaga jouait à la Guitare sobre autrefois.
Il marchait depuis presque deux heures, sur une route de bitume sombre, une sorte de désert des deux cotés de la route. Pas de végétation terriblement imposante. Pas mal de Sable.

Lewa décrocha d'une main sa cape la fit tourner devant lui et la prit sur son dos pour la mettre dans la même main que celle qui tenait la lanière de son sac. Il se dit qu'il allait la jouer sobre en arrivant à Artaka city.
Et ne pas dévoiler ses pouvoirs.

Le quartier était assez propre. Nettoyer par une tornade de sable sans doute. De grand buildings. Aux vitres inférieures brisées par des être sans doute affamés, et pauvres, ou bien des brigands.

Un regard dans l'ombre.
Un cliquetis de chargeur.
Un poignard sur le toit.

Rien n'échappait à Lewa. Il sentait chaque mouvements dans l'atmosphère. Il était l'air. Mais il ne fit comme si de rien n'était.

Le premier patté de maison allait être passer. Au loin, à environ un Kilomètre, tout au long de la rue, il voyait des véhicule et de la circulation.
Mais cette rue semblait être habitée par tout autre chose que de paisible matoran.

Il s'arrêta. Pencha le ac en avant et susurra entre ses lèvres. La cape glissa, sa main saisie un objet dans le sac.

-Je déteste le Far West.

Il redressa le menton. Et fit feu de son Skyblaster sur le haut à droite. La balle fonça directement sur le genoux de l'être qui gémit. Le Poignard Siffla. D'un pas sur le coté appuyé Lewa l'esquiva. Retour de Skyblaster. Chargement des autres balles.

Un pied de Fer, et une jambe de Protodermis solide sortirent de l'Ombre.
Une balafre sur la main.

-Tu es drôlement doué pour un étranger au cheveux Vert et au pantacourt blanc ...

La voix était sombre, annonciatrice de bagarre. Volontiers agressive.

Je suis lewa, Toa de l'air. je ne veux pas d'ennuis avec vous.

-Peut m'importe qui tu es! Sale étranger ! Tu n'as rien à faire ici. Ici c'est chez nous. C'est notre Terre. Jamais..Jamais les étrangers n'auront le droit de passage ici. Les Faubourgs sont nos tranchées. Les Bâtiments sont nos remparts. Les Criminels sont nos héros. Jamais vous n'y arriverez. C'est finit. L'Univers se dissout. Votre ami , Mata-nui se barre ! Partez avec lui. partez dans son Robot géant. Laissez nous. Laissez nous ou vous devrez nous affrontez. Tous Un par Un. Nous sommes les Matoran les plus difficile à vaincre.

Lewa respirait doucement. Les palpitations de son cœur organique, enfermé dans son corps de métal résonnaient. Il cria. Et se mit à courir droit vers le Balafré.

-Cette cité ! Sera libérée de son courroux. Croyez moi ! Je suis l'élève de Ryooo. Le Maitre d'Arme le plus redouté de la Confrérie. Le Contrôleur de l'Air.
Rien ne stoppera ma course. Poussez vous. Matoran. Je vous respecte et je ne vous ferais aucun maux. Rien. Je veux la paix !

L'autre cracha par terre, une salive sur du bitume. La rue ressemblait à celle d'une grande ville. Les véhicules garés sur le cotés délabrés. Les poteaux électriques avec des fils cassés qui longeait le sol.
Le Matoran était grand. C'était un semi-toran.
Il faisait à peu prêt la taille de Lewa.

Les Bottes métallique du Toa frappaient le Sol. Il leva son bras droit en arrière. Appuyant sur la gâchette. Un Matoran avait eut l'idée de se cacher pour tirer en embuscade mais l’œil du Toa l'avait vu venir. Le Matoran fut secouer par une décharge dans son épaule. Un giclement se mit à luire sur son torse. Le Balafré rugit. Criant au meurtre.
Pourtant le Matoran n'avait été que blessé. Lewa avait fait très attention à la précision. Il arriva sur le balafré. Il jeta au sol son Skyblaster. Et dégaina l'un de ses katana. L'autre se craqua le cou. Et envoya son bras à la rencontre de la lame. Le bras se métamorphosa. Prenant l’effigie d'une arme d'une lame d'épée, reliée au coude.

Surgirent deux étincelles. Dans le Flou total de l'illusion du combat. Les étincelles se dispersèrent. Mais en Maitre de L'air. Lewa ne les perdit pas.
Contrôlant chaque mouvements d'une lévitation parfaite. Les étincelles partirent dans les yeux du Balafré. Qui d'instinct donna un coup de recul de son Bras-épée. Et se toucha les yeux. Mais il n'eut le temps de réagir que déjà un poing, un gant de fer le percuta en plein ventre.

S'élevant dans le ciel, le Matoran se précipita sur le mur d'un bâtiment totalement sonné, la vision impossible pour le moment. Lewa fit tourner son Katana vers l’intérieur et le rengaina dans son dos. Il retourna sur ses pas. Reprit son Skyblaster. Et Reprit ses Sacs.

-Nous sommes des Justiciers. Nous ne sommes pas ici pour vous faire peur. Mais nous sommes là pour vous sortir de votre misère abondante. Arkata sera la première cité, et île à faire ce pas.

Il savait qu'il ne parlait pas dans le vide. Il ressentait l'odeur des Matoran derrière les murs et les fenêtres brisées.

Lewa décrocha le gant de fer, et laissa apparaitre une main d'Homme. Il la serra sur sa paume et se surprit à sourire inconsciemment. Il rattacha son Gant, sa "main" de Fer verte.
Ryooo lui avait donné l'opportunité d'être plus qu'un simple Toa. Lewa était devenu un Héros.
Et maintenant, il devait remttre de l'ordre dans les Civilisation dévastée par la Peur, et la Détresse .

Il marcha quelques minutes en pleine Rue. Et arriva au bords de la route, là ou les véhicules s'entassaient en bouchons. Ou les Matoran d'Affaires criaient. Ou les Klaxons faisaient un boucan. Lewa tourna dnas la rue, marchant sur un trottoir tout petit, mais ou il n'y avait personne.

Tout le monde préférait prendre le trottoirs qui marche pour vous. Le Tapis roulant. Et pourtant, au loin , il y avait une Dame. Une Semi-Toran, elle aussi. De la taille de Lewa, elle portait un Jeune bébé à bout de bras.
Il se pressa et arriva à coté d'elle.

-La Vie n'est vraiment pas facile, n'est-ce pas ?

Elle tourna son visage vers lui. Et vit qu'il n'avait pas de masque de Fer, pas de masque de pouvoir. Rien qu'un visage de chair. Lewa avait retirer son casque et masque, entre temps. Il préférait respirer à l'air libre. C'était la seul partie de lui, son visage, qu'il laissait percevoir la lumière du jour. tout son corps était encore enfermé dans l'armure métallique et robotique de Toa.

-Vous ..vous n'avez pas..de ..de visage masqué. Vous ..Vous êtes un semi-toran sans peau de Fer sur les joues..Qui..Qui êtes vous..

-Je ne suis que de passage. Et disons que ..je vais essayer de rétablir l'ordre dans cette cohue permanente.

-Merci..Ce..ce n'est pas toujorus facile. Je n'ai pas les moyens d'utiliser les Tapis roulants.

Lewa acquiesça.

-Je...je veillerais à ce que ça change. Que les Tapis roulant, ou les Ascenseurs de Protodermis deviennent des chemins libres. Mais avant.. J'ai..j'ai des achats à faire. Avez vous ..une boutique à me proposer?

-Je..je connais un vieux commerçant, mais..je ne pense pas que ça vous intéresse. Vous êtes visiblement bien équipé..mais..OH..vous..vous avez l'armure d'un Toa non ?

Lewa se mit au niveau de la Dame et secoua la Tête.

-Peut importe ce que je suis. Et je suis aussi certains que votre amis aura une ou deux choses qui m'intéresseront.

Ils marchèrent un peu, elle tourna dans une ruelle plus isolée.

-Comment s'appelle-t-il ?

-J'aimerai l’appeler d'un nom qui est déjà porter. Par une personne m'ayant déjà sauver par le passé.

-Oui?

-Ryo. J'aimerais l’appeler Ryo. mais c'est improbable..qu'il se souvienne de moi...
après tout..

-Ryooo vous a sauvez? C'est.. C'est extraordinaire !

-Oui, dans l'époque ou il portait une armure similaire à la votre. Lors d'un cataclysme touchant les îles perdues comme Arkata. Il est venu et à sauver nombreux matoran. Mon Frère a été sauver par Iruini. Moi par Ryooo. Je lui doit beaucoup.

Lewa se sentit tout petit. Ryooo avait une grande importance. Mais ..Pour autant, Lewa ne devait pas dire qui il était maintenant. Cela compromettrait sa mission de faire régner le bien par ici. Il devait d'abord agir dans l'Ombre pour arriver au grand jour après.

Il est temps de revenir aux sources des héros.

Ils arrivèrent devant le commerce. Une vieille échoppe à l'écriteau cassé. Lewa la remercia. Et il entra. Un regard souriant au petit Toran.
La porte glissa dans un "cling" de sonnette comme on n'en fait plus de nos jours dans les boutiques.

Le Marchand Sortit de l'ombre de ses étagère. Etonné.

-Un Client? Non..ce doit être un vieux rêve qui se réalise ou serait-ce un client ?

Lewa rit doucement.

-Je suis à la recherche d'un Arc. D'un Arc laser. Performant, si possible propre.

-Oh..Oh..vous êtes un Toa. N'est ce pas ?

-Cela est possible.

-Oh que oui ! ces armures ne se font que pour les Toa! Oh que oui ! Et ce Katana ! Oh..Je.. Vous visage..OH.. Ne seriez vous pas celui que l'on appelle le Chevalier Vert de l'Aurora ?

-L'aurora a été un peu dissoute. Ces derniers temps.

-Oh..Oh.. OH..BIen bien..un Arc.. Oh que oui j'dois bien en avoir hein au sous sol, suivez moi mon ami suivez moi.

Le Marchand, âgé se baissa, tira un tapis du sol et leva une poignée de Fer d'un argent très propre et gravé. Une Poignée de Sureté.

-Allez, suivez moi. suivez moi.

Il descendit un escalier. une échelle. Avant de trouver un loquet dans le mur. Deux toiles se plièrent. Et une lumière d'un néon mural s'illumina . La pièce révéla sa grandeur. Lewa ouvrit grand ses yeux bleus. Ses sourcils légèrement brun se haussèrent. Il était subjugué.

-Voici mon ami ! L'arsenal du Papy Hector !

-Vous..Vous..

Il y avait au mur face à Lewa des centaines d'armes. Des Arcs par cinquantes, des épées. Des Dagues. Toutes améliorées avec une technologie d'aujourd'hui. Même la confrérie n'avait pas une salle d’armes aussi petit et compacte mais aussi bien fournie.

-Pourquoi me montrer vous tout cela ?

-Parceque ..Parceque vous allez faire bougez les choses ? non ? Vous êtes pas venu chez moi juste pour m'acheter des bouteilles d'huiles pour lustrer votre buste vert.

-Pardonnez moi. Je..

-Non Toa. Vous n'êtes pas parmi nous pour vous vous excusez. Mes contemporains font déjà trop de ravage. Je me préparais. Je me disais que cela pouvait être utile.

-Oh.oui. Je.tenez.

Lewa fit léviter sa bourse de Mata. entière. Vers le viel homme-toran.

-De l'argent ! Mais je n'en veux pas..

-Pas pour moi. Non. Vous voulez m'aider. Aidez celle qui attend au dehors. Avec son enfant. Faites attention à Elle. Ne la laissez pas dans des rues aussi dévastée.

-Mais cette bourse..contient presque ..presque 4000 mata. c'est énorme !

-Ce n'est rien comparer à Cet Arc et à votre volonté. Old Hector. Je serais me montrer fidèle envers vous pour l'aide que vous m'apportez en me fournissant cet arc.

-Ils sont tous à vous. Vous n'avez pas compris ? Vous êtes chez vous ! Mon ami ! Détendez vous !

Lewa hocha la tête et rit.

-On dirais que j'ai pas le choix ?

-C'est Exact. Vous êtes ici. Vous y rester. Vous n'avez pas de bobos à soigner ? Tant mieux. Vous avez traversez les Faubourgs malfamés des Gangs de Rues ?

-Oui. Sans soucis.

-Incroyable. Venez. Remontons à l'étage. Et appellons la demoiselle. Vous nous raconterez tout ça.

-Si vous le voulez.. Je.. d'accord..

-La nuit tombe de toute façon mon Garçon !

Lewa s'assit plus tard dans un fauteuil. Devant un petit Feu de cheminée sous vitre mais dont la chaleur réchauffait l'armure du Toa. Et la faisait briller d'un vert lumineux.

Ils s’installèrent autour d'une table basse dans des fauteuils Discutèrent.
Lewa ne s’attendait pas à ça en venant ici. Mais peu importe en quoi il croyait.
Il devait sauver ces personnes vivant dans l'Ombre de la Détresse.

-Je suis désolé répéta-t-il encore une fois. Je n'ai pas retirer mon armure de Toa. Je..je suis née ainsi.

-Oui oui ! Ne vous en faites pas! Elle ne gêne personne.

La Dame et son petit bout sur les genoux, face à Lewa, le sourire d'Hector.

Lewa se surprit à dire :

-On dirait une famille.

Le chevalier Vert..

Lewa, Hector, et Julii, ainsi que le petit Ryo, finirent de diner tard ce soir là. La nuit passa comme un faible nuage sous un grand vent.
Déjà le matin apparaissait devant le Toa. Il descendit à la Salle d'Arme, y prit ce qui lui semblait nécessaire. Hector promis de lui arranger ses armes de la Confrérie.

Lewa enfila ses gant métallique et mit son masque. le Heaume se fixa dans un bruit de souffle aspiré. Lewa enfila par dessus sont armure une Cape, non noire, mais Verte.

Le Toa sortit dans la Rue et avisa Hector et Julii qu'il allait revenir; Et que sil il ne revenait, que cela n'était pas grave. Qu'ils ne devaient pas s'inquiéter.

La Grande banlieue s'ouvrit de nouveau sous la marche rapide de Guerrier Toa.
Arkata n'était qu'une nouvelle cité. Mais la corruption y régnait déjà en masse.
Le Chef d'un réseau de voyous, avait déclaré Hector, était Karl Ghoren. Un investisseur miteux. Planqué dans son Building au centre de la Cité majoritaire.

Lewa allait rendre visite à ce Jeune et corrompu personnage.

(Dans ce RP, ce n'est pas Lewa qui semble le héros mais Ryooo. Lewa n'est juste que son élève et Ryooo est connu même dans ce trou paumé. Faut pas déconner, Lewa n'est pas juste qu'un chasseur de criminels solitaire (un peu comme Rohrak en ce moment), il est plus que ca. C'est un des persos principaux de l'histoire officielle de bionicle.

Et puis, sinon, je te dirais que je pourrais pondre un RP semblable...mais après une journée de réflexion et en s'inspirant d'un épisode d'une série que j'ai vu récemment... et en plus, il serait deux fois moins long. Avec les mêmes actions, la même histoire mais deux fois moins long)

? Je...euh..je ne sais pas. Je ne vois pas les choses comme ça.